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Dernières lectures

Pour l’amour d’une île   Armelle Guilcher      ♥♥♥♥      #secretsdefamille#ile#bretagne

À la fin de ses études de médecine, Marine décide de retourner vivre sur la petite île bretonne où elle a grandi jusqu’à la mort de ses parents. Mais dans le froid venteux de novembre, l’installation se révèle difficile : les habitants désertent son cabinet et affichent ouvertement leur hostilité. Marine comprend que le secret de cette haine est caché dans le passé de sa famille.

La part des flammes Gaëlle Nohant   ♥♥♥♥♥   #romanhistorique

4 mai 1897. Autour de l’épisode méconnu du tragique incendie du Bazar de la Charité, La Part des flammes mêle les destins de trois figures féminines rebelles de la fin du XIXe siècle : Sophie d’Alençon, duchesse charismatique qui officie dans les hôpitaux dédiés aux tuberculeux, Violaine de Raezal, comtesse devenue veuve trop tôt dans un monde d’une politesse exquise qui vous assassine sur l’autel des convenances, et Constance d’Estingel, jeune femme tourmentée, prête à se sacrifier au nom de la foi.

L’ombre de nos nuits Gaëlle Josse  ♥♥  #romanhistorique Deux histoires en parallèle, trop dissemblables pour moi.

De passage dans une ville sans nom, une femme, dont nous ne connaîtrons pas l’identité, entre au musée. Au cours d’une déambulation distraite, elle est saisie par le Saint Sébastien soigné par Irène, de Georges de la Tour. Devant l’attitude d’Irène, tout en tendresse et en compassion, la femme va revivre les errements d’une histoire d’amour passée.
En parallèle, nous suivons Georges de la Tour à Paris, pendant la création du Saint Sébastien, alors qu’il a pour projet de présenter le tableau au roi de France. Deux voix se font écho, celle du peintre et celle de Laurent, son apprenti, chargé de copier le tableau.
Au fil des deux histoires qui se chevauchent, avec la toile pour fil conducteur, les deux époques s’entrelacent, se complètent, jusqu’à donner chair au récit.

Le mystère Henri Pick  David Foenkinos  ♥♥♥ Déçue, l’idée était bonne, la fin est bâclée.

En Bretagne, un bibliothécaire décide de recueillir tous les livres refusés par les éditeurs. Ainsi, il reçoit toutes sortes de manuscrits. Parmi ceux-ci, une jeune éditrice découvre ce qu’elle estime être un chef-d’œuvre, écrit par un certain Henri Pick. Elle part à la recherche de l’écrivain et apprend qu’il est mort deux ans auparavant. Selon sa veuve, il n’a jamais lu un livre ni écrit autre chose que des listes de courses… Aurait-il eu une vie secrète? Auréolé de ce mystère, le livre de Pick va devenir un grand succès et aura des conséquences étonnantes sur le monde littéraire. Il va également changer le destin de nombreuses personnes, notamment celui de Jean-Michel Rouche, un journaliste obstiné qui doute de la version officielle. Et si toute cette publication n’était qu’une machination? Récit d’une enquête littéraire pleine de suspense, cette comédie pétillante offre aussi la preuve qu’un roman peut bouleverser l’existence de ses lecteurs.

Réparer les vivants   Maylis de Kerangal     abandonné, écriture et histoire trop difficiles.

“Le cœur de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d’autres provinces, ils filaient vers d’autres corps.”

Réparer les vivants est le roman d’une transplantation cardiaque. Telle une chanson de gestes, il tisse les présences et les espaces, les voix et les actes qui vont se relayer en vingt-quatre heures exactement. Roman de tension et de patience, d’accélérations paniques et de pauses méditatives, il trace une aventure métaphysique, à la fois collective et intime, où le cœur, au-delà de sa fonction organique, demeure le siège des affects et le symbole de l’amour.

Manderley for ever Tatiana de Rosnay   ♥♥  #biographie

Je l’ai décrite comme si je la filmais, caméra à l’épaule, afin que mes lecteurs comprennent d’emblée qui elle était. J’ai décrypté ses livres, sa voix, son regard, sa façon de marcher, son rire. J’ai écouté ses enfants, ses petits-enfants. Autour des maisons qu’elle aimait avec passion, j’ai dressé le portrait d’une écrivaine atypique et envoûtante, méprisée des critiques parce qu’elle vendait des millions de livres. Son univers macabre et fascinant a engendré une œuvre complexe, étonnamment noire, à l’opposé de l’étiquette « eau de rose » qui lui fut si injustement attribuée.

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