Lectures
De jolis romans :
Véritable phénomène d’édition aux États-Unis, le roman d’Anthony Doerr possède la puissance et le souffle des chefs-d’oeuvre. Magnifiquement écrit, captivant de bout en bout, il nous entraîne du Paris de l’Occupation à l’effervescence de la Libération, dans le sillage de deux héros dont la guerre va bouleverser l’existence : Marie-Laure, une jeune aveugle, réfugiée avec son père à Saint-Malo, et Werner, un orphelin, véritable génie des transmissions électromagnétiques, dont les talents sont exploités par la Wehrmacht pour briser la Résistance. En entrecroisant le destin de ces deux personnages, ennemis malgré eux, dans le décor crépusculaire d une ville pilonnée par les bombes, Doerr offre un roman soigneusement documenté et une fresque d’une beauté envoûtante.
Bien plus qu’un roman de guerre, Toute la lumière que nous ne pouvons voir est une réflexion profonde sur le destin, le choix et l’humanité.
Après avoir connu les horreurs de la Grande Guerre, Tom Sherbourne revient en Australie. Aspirant à la tranquillité, il accepte un poste de gardien de phare sur l’île de Janus, un bout de terre sauvage et reculé. Là, il coule des jours heureux avec sa femme, Isabel. Un bonheur peu à peu contrarié par leurs échecs répétés pour avoir un enfant. Jusqu à ce jour où un canot vient s échouer sur le rivage. À son bord, le cadavre d’un homme, ainsi qu’un bébé, sain et sauf. Pour connaître enfin la joie d’être parents, Isabel demande à Tom d’ignorer les règles, de ne pas signaler « l’incident ». Une décision aux conséquences dévastatrices…
Tchécoslovaquie, années 1920. Le pays se relève à peine de la guerre : il s’agit d’oublier. De reconstruire. En faisant ériger, sur leurs terres, le Palais de verre, le jeune couple Landauer participe de cette utopie radieuse : la maison, tout en lignes pures et matière transparente, abritera leur amour. Un espoir des temps nouveaux. Hélas, une ombre plane sur l’Europe. Le couple s’use, l’idéal s’abîme et le monde devient fou. Ne restent bientôt plus que des éclats de rêve…
Tu pourrais nous indiquer les titres de ces romans ?
Merci
J’ai lu “La mémoire des embruns “de Karen Viggers c’est superbe , mais je ne connais pas les autres !!!
J’ai lu “le palais de verre” de Simon Mawer, superbe livre sur l’histoire de cette maison et des familles qui gravitent autour. Il circule actuellement dans mon Club De Lecture à l’Université et plait beaucoup.