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Lectures de juillet

Lu il y a quelques mois, j’avais oublié de vous en parler. C’est vraiment dommage, car c’est un très beau livre.

“Au début du XXe siècle, la bonne société de Chicago resta foudroyée par le soufre d’un scandale sans précédent.
Pour l’amour éperdu d’un homme, une femme osa l’impensable et commit l’irréparable. Elle en paya le prix toute sa vie. Elle s’appelait Mamah Borthwick Cheney. Lui n’était autre que Frank Lloyd Wright, l’enfant génial et rebelle de l’architecture américaine à qui Mamah et son mari Edwin Cheney avaient demandé, en 1903, de construire leur nouvelle maison. En 1909, tombée entre-temps follement amoureuse du célèbre architecte, Mamah choqua une époque pudibonde et dévote en quittant son mari et ses deux jeunes enfants pour suivre Frank Lloyd Wright en Europe. Ce dernier, tout aussi épris, laissait derrière lui une Amérique stupéfaite, une épouse et six enfants… Enchaînés par la passion, mais hantés par une culpabilité intolérable, ils firent la une de la presse américaine durant leurs séjours en Allemagne, en Italie et à Paris, lors de la grande crue de 1910…
Mais aucun journal à sensation n’aurait pu prévoir ce qui adviendrait à ce couple maudit de retour aux États-Unis, en 1914. La violence du dénouement verra – au-delà du déchirement des familles Cheney et Wright – le monde pétrifié.
Pour la première fois nous est contée l’histoire de l’émancipation très en avance sur son temps de Mamah Borthwick, et de son amour pour l’un des plus grands maîtres de l’architecture moderne.”


“Depuis 1452 et la parution de la Bible à 32 lignes de Gutenberg, le texte et le livre ont partie liée : publier un texte c’est faire un livre, lire un livre, c’est lire un texte, acheter un texte, c’est acheter un livre.
Ce récit commence le soir où la petite stagiaire discrète apporte à Robert Dubois le vieil éditeur, encore directeur de la maison qui porte son nom, sa première liseuse. Ce bel objet hightech qui le regarde de son écran noir, lui annonce que sa vie est en train de basculer. Que va devenir son métier maintenant que le texte et le papier se séparent ? Quelque chose couve qui pourrait fort bien être une révolution. Il le sait et cette perspective le fait sourire.
La vie continue pourtant à l’identique, Dubois déjeune avec ses auteurs, voyage chez les libraires, rencontre les représentants, mais il porte sa liseuse sous le bras qui lui parle déjà d’un autre monde. Celui qu’il va aider des gamins à bâtir, celui dont il sait qu’il ne participera pas.
De toute la force de son humour et de son regard désabusé et tendre il regarde changer son monde et veille à garder, intact au fond de lui, ce qui jamais ne changera : le goût de lire.”

Les premières pages sont à lire ici.

L’histoire est originale, bien écrite, à recommander.

Ce livre me fait m’interroger sur l’achat d’une liseuse. En possédez-vous une? Qu’en pensez-vous?

Abandonné à la moitié, difficile à lire, longues phrases alambiquées….
“Rien ne semble devoir troubler l’existence ordonnée et protégée de Pemberley, le domaine ancestral de la famille Darcy, dans le Derbyshire, ni perturber le bonheur conjugal de la maîtresse des lieux, Elizabeth Darcy. Elle est la mère de deux charmants bambins, sa soeur préférée, Jane, et son mari, Bingley, habitent à moins de trente kilomètres de là, et son père adulé, Mr Bennet, vient régulièrement en visite, attiré par l’imposante bibliothèque du château. Mais le climat s’alourdit soudain lorsque, à la veille du bal d’automne, un drame contraint les Darcy à recevoir sous leur toit la jeune soeur d’Elizabeth, Lydia, et son mari, Wickham, que leurs frasques passées ont rendu indésirables à Pemberley. Avec eux s’invitent la mort, la suspicion mais aussi le romanesque.
Dans La mort s’invite à Pemberley, P.D. James associe sa longue passion pour l’oeuvre de Jane Austen à son talent d’auteur de romans policiers pour imaginer une suite à Orgueil et Préjugés, six ans après la fin du roman, et y camper une intrigue à suspense. Elle le fait avec une grande fidélité aux personnages d’Austen, et en même temps dans le plus pur style de ses romans policiers, dans lesquels elle fait affleurer, et souvent approfondit, des problèmes de société – ici ceux de l’Angleterre du début du XIXe siècle : domestiques et maîtres, dureté de la justice, abîme entre le mode de vie des privilégiés et celui des petites gens.”

Je rajoute celui que j’avais oublié. Acheté parce que j’aime beaucoup cet auteur et l’histoire se déroule à San Francisco.

Tout petit, un peu convenu, parfait scénario d’une comédie romantique.


Yann et Benoît se sont connus au lycée. À l’époque, ils étaient toujours fourrés ensemble, inséparables. Lorsqu’ils se retrouvent par hasard, un matin vingt ans plus tard, dans une rue de San Francisco, c’est à peine s’ils se reconnaissent. Celui qui était déjà pianiste et plaisait beaucoup aux filles a connu le succès, mais il affronte depuis quelque temps le déchirement de son couple. L’autre, jadis matheux et asocial, entre joyeusement dans la quarantaine : il vient tout juste de rencontrer la femme de sa vie. Chez ces deux-là, la vie de l’un semble toujours prendre le contre-pied de celle de l’autre. Que reste-t-il de leur amitié et ont-ils encore quelque chose à partager ?”

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3 réponses

  1. joce dit :

    j’ai eu trés envie d’une liseuse,mon gendre me l’a offerte mais…..trés pratique en voyage,il n’y a cependant pas de partage.Avec des amies ,nous nous pretons nos livres et la liseuse est un peu frustrante.J’ai le Kobo de la fnac et le choix des livres n’est pas encore trés développer,
    voilà mon avis,en souhaitant que d’autres personnes donnent le leur,je vais garder ce post et attendre,peutêtre que quelque chose m’échappe dans son utilisation,bon week end

  2. cartonsdemma dit :

    J’avais adoré Loving Franck et je viens de finir La grand mère de Jade de Frédérique Deghelt, j’ai très envie de découvrir d’autres titres de cet auteur. Bon voyage

  3. Babeth-Lili dit :

    Je n’en ai pas, aimant trop les livres par eux-mêmes et l’odeur du papier aussi; mais je dois dire que cela peut être très pratique pour les personnes qui voyagent beaucoup pour emporter plusieurs livres et également pour les personnes malvoyantes car on peut grossir les caractères.

    Un sujet effectivement intéressant à développer.
    Bonne soirée !

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