Lectures
Les 2*11 heures d’avion durant les dernières vacances, m’ont donné du temps pour lire…
“Theo Decker a treize ans. Il vit les derniers instants de sa vie d’enfant. Survivant miraculeux d’une explosion gigantesque en plein New York, il se retrouve seul dans la ville, orphelin, et se réfugie chez les parents d’un ami pour échapper aux services sociaux. Mais cette situation ne pourra être que temporaire. Désormais Theo va comprendre très jeune, qu’il ne peut compter que sur lui-même. Tout ce qui lui reste de cette journée où il a perdu sa mère, c’est un tableau, une toile de maître minuscule, envoûtante, infiniment précieuse et qu’il n’a pas le droit de posséder. Mais il ne peut plus s’en détacher.”
Très déçue par ce livre, il était sensé nous entrainer dans le monde mystérieux de l’Art. C’est plutôt dans le monde des drogues de toutes
sortes qu’il nous mène.
“A Londres, lors du tournage d’une fiction pour la télévision, Adèle, une jeune stagiaire française, reçoit un texto totalement inattendu et absolument irréel : son grand-père, mort quelques jours auparavant, lui souhaite un joyeux anniversaire… Adèle se remémore alors les événements de ce dernier mois. Son papy, Georges, quatre-vingt-trois ans, les pieds plantés dans son potager, enraciné dans sa bonne vieille terre du Poitou, a subitement décidé de partir pour un tour de France avec son voisin et ami Charles, soixante-seize ans. Sa petite-fille a découvert leur projet et, inquiète pour la santé de son aïeul, lui a fait promettre de lui envoyer des nouvelles tous les jours par texto. Commence alors une drôle de correspondance, tendre et complice, entre le grand-père et sa petite-fille, qui ne se sont pas vus depuis dix ans. Ce beau récit, touchant et juste, mêle à la gouaille des dialogues l’émotion de sentiments qui peinent à se révéler.”
J’ai beaucoup aimé ce livre, il me rappelle les romans de Barbara Constantine.
“JUSQU’OÙ IRA-T-ELLE POUR ÊTRE LA SEULE FEMME DE SON HOMME ?
Elle c’est Jodi. Lui c’est Todd. Elle est une femme d’intérieur idéale et une psy de renom. Il a le charisme et la gloire de ceux qui réussissent. Elle l’aime aveuglément. Il la trompe allégrement. Elle et lui forment le couple parfait, en surface. Mais les apparences peuvent-elles longtemps rester trompeuses ?
Thriller psychologique à la Gillian Flynn (Les Apparences), La Femme d’un homme a connu un succès phénoménal aux États-Unis. D’origine canadienne, A.S.A. Harrison n’aura malheureusement pas savouré son succès, décédée quelques semaines avant la parution de son premier roman. La Femme d’un homme est en passe d’être publié dans le monde entier.”
J’aime les thrillers, mais là, je n’ai pas trop accroché.
“Après des années new-yorkaises aussi branchées que dangereuses, Maryline, ancien mannequin longiligne, et William Halloway, ex-rock star, échouent sur la côte bretonne, à Ker Annette, pour y mener une vie de paisibles hôteliers. Mais un beau matin de juillet, une jeune femme est retrouvée morte dans la crique. Chargé de l’enquête, Simon Schwartz va bouleverser la vie tranquille de Maryline et réveiller les fantômes de sa jeunesse, lui qui était autrefois son grand amour. En cette veille de saison estivale, Maryline devra jouer serré pour protéger son monde, tout en continuant à recevoir les clients de sa maison d’hôtes battue par les vents de la côte sauvage.
Au fil de ce faux roman policier, l’amour et l’humour courent comme un furet entre les membres d’une famille hors norme, emportée avec quelques autres excentriques de passage dans une danse iodée et très rock and roll.”
Ce livre m’a plu, original et finalement plus thriller que le précédent.
“Les coïncidences n’existent pas ! Aurélie en est convaincue depuis qu’un triste vendredi de novembre, éplorée suite à une rupture, un roman lui a redonné goût à la vie. À sa grande surprise, elle y apparaît, ainsi que son propre restaurant, Le Temps des cerises, un charmant bistrot du 6e arrondissement. Intriguée, Aurélie tente d’entrer en contact avec l’auteur –; un Anglais réfugié dans son cottage et peu enclin aux échanges avec le monde extérieur, selon sa maison d’édition –; et se heurte à un mur, de la part notamment d’André, l’éditeur revêche de cette traduction. Et pour cause, mis au défi par son patron de trouver au plus vite un best-seller, André a lui-même écrit Le Sourire des femmes, faute d’auteur prometteur sous la main. Publié sous pseudo, le roman a rencontré un succès immense. Mais la ravissante Aurélie, en dévoilant le pot aux roses, pourrait bien tout compromettre.
Cette comédie romantique peint avec charme et saveur un Paris chromo et gourmet, à la Amélie Poulain. Enchaînant délicieusement les situations cocasses et les quiproquos, Le Sourire des femmes est un divertissement enchanteur. Une lecture chavirante.”
Adorable comédie romantique !
“Laurent Minkowski, la quarantaine, est un chercheur en génétique qui ne veut pas se reproduire, comme il est des chirurgiens qui ne supportent pas la viande ou des pharmaciens qui ne jurent que par la tisane. Depuis quelque temps, il est à cran. Le laboratoire privé où il travaillait l’a licencié, plus personne n’embauche dans le public, et son médecin traitant lui a découvert une forte hypertension artérielle. Bon, vous me direz qu’il y a des millions de gens comme lui dans notre pays. Mais le vrai problème de Laurent, c’est qu’il vit avec Juliette, de vingt ans sa cadette. Persuadé qu’il doit paraître rassurant en toutes circonstances, voire invulnérable, il se lance dans des larcins de proximité pour lui cacher qu’il est au chômage, mais son entrée maladroite et désordonnée dans la délinquance – bandit, c’est comme tout, ça s’apprend – va l’entraîner dans une dégringolade incontrôlée, aussi hilarante que périlleuse.
Apprenti cambrioleur, il est envoyé dans un appartement huppé du XVIIe arrondissement où il découvre dans la cuisine un couple abattu, puis un nourrisson caché sous le lit, à demi mort de froid. Pourquoi, au moment de s’enfuir, ne peut-il s’empêcher d’embarquer ce nouveau-né ? Que dire à Juliette pour justifier l’irruption d’un bébé dans leur couple ? Tandis que le double meurtre défraie la chronique, Laurent Minkowski s’aperçoit qu’il a été piégé. Mais en dehors de lui-même, qui pourrait bien lui vouloir autant de mal, et pourquoi ?”
Histoire originale et drôle.