Ariane Crovisier

Mains posées sur la glaise, je regarde, j’effleure, je creuse, je retourne la masse. Je joue avec le plaisir de son contact doux, humide…
Chaque fois, une nouvelle histoire s’initie, qui ne cesse de s’écrire jusqu’au temps où la forme née du mouvement des mains se durcit, s’achève.
Le volume fini, désormais poursuit son chemin dans le regard singulier du spectateur.
A.Crovisier



On sent effectivement la sensualité du toucher de l’artiste…. C’est sans aucun doute ce qui motive, chez le public, l’envie irrépressible de caresser les sculptures. Tu ne crois pas ?
Tout à fait Myriam. La sculpture invite à la toucher.