• Non classé
  • 3

La paracorde

C’est la future corde à la mode.

La paracorde est une corde nylon multibrins gainée légère, robuste et élastique, initialement utilisée pour les suspentes de parachutes américains durant la Seconde Guerre mondiale, encore utilisée de nos jours. Sur le terrain, de nombreuses autres utilisations lui ont été trouvées, la rendant populaire dans le monde militaire, puis dans l’utilisation civile.

Les randonneurs et autres amateurs de sports de pleine nature portent parfois des bracelets de survie ou bracelet de secours, composés d’une seul longueur de paracorde tressée ou travaillée en macramé. Le but étant de pouvoir défaire le bracelet en cas d’urgence, et d’avoir une cordelette résistante d’environ deux mètres d’une seul tenant pour subvenir aux besoins ponctuels (abri, point de compression, lacet, réparation nécessaire…).

source Wikipédia

Le bracelet peut faire un cadeau idéal pour la fête des pères.

tuto ici 

On peut aussi faire un porte-clé

source

Cela s’appelle une une pomme de touline.

Elle était utilisée en marine au bout des cordages pour faciliter leur lancement. Mais fabriquée avec de la ficelle lisse et une bille cela devient un sympathique petit porte clé.

 

MATÉRIEL

  • 140 cm de ficelle lisse
  • une bille (ou de la corde et un « calot »)

FABRICATION

Nota : l’exemple montre, pour ne pas trop surcharger les schémas la fabrication d’une pomme avec trois tours de ficelle. Même s’il ne faut descendre dessous ce chiffre, on peut varier à volonté leur nombre.

Saisir la bille entre le majeur et l’index. A l’aide de l’annulaire on bloque la ficelle et on fait trois tours autour de la bille et des doigts qui l’enserrent.


Puis on clôture ces trois tours en tournant autour de l’index, ce qui permet de débuter les tours transversaux.


On fait à nouveau trois tours, perpendiculaires aux trois premiers…


Arrive la manoeuvre délicate, il faut retirer ses doigts de l’assemblage ainsi fait.


Une fois cela fait, on fait à nouveau trois tours en passant par les trous laissés par les doigts


Bien remarquer qu’on passe à l’intérieur des anneaux les plus grands et à l’extérieur des plus petits. (vue de dessus sur le schéma à droite)


Une fois les trois tours faits, le bout sert de ficelle d’accrochage et il ne reste plus qu’à serrer : pour cela on reprend un par un les fils en les tirant au maximum (c’est le plus long)


source

Quelques livres

 

 

 

 

Please follow and like us:

3 réponses

  1. Mimiblue dit :

    Rho la la …. Qu’Est-ce qu’on a pu en faire, de ces bracelets !!! J’avais 17 ans…. C’est loin….
    Je serai moins présente sur ton blog, je m’absente quelques jours. J’ai entendu que Meudon était inquiète pour des jeunes partis au Tibet mais que les nouvelles sont bonnes : pas de problème pour ce groupe-là !!!

  2. Sakartonn dit :

    Ce sont des élèves de seconde du lycée La Source.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.