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Lectures

“Une fillette de onze ans surdouée pour la peinture, une institutrice redoutablement séduisante et une vieille femme aux yeux de hibou qui sait et voit tout constituent le point de départ de l’intrigue. A Giverny, Jérôme Morval, chirurgien ophtalmologiste, enfant du pays, a été retrouvé assassiné près de la rivière de l’Epte. Pour Laurenç Salignac, fraîchement débarqué de l’école de police de Toulouse, le suspect est tout désigné : il s’agit de Jacques Dupain, mari de la belle institutrice, Stéphanie. Cette affaire ferait-elle écho avec l’assassinat du petit Albert Rosalba, retrouvé mort dans les mêmes circonstances en 1937 ? La vieille femme qui sait et voit tout, narratrice à ses heures, guide le lecteur dans ses déambulations à Giverny, et, à petites touches, se confie : elle seule détient la vérité. Mais quelle vérité ? Car dans le reflet d’une toile de maître d’exception, Les Nymphéas, passé et présent se confondent, meurtres et passions ressuscitent quand jeunesse et mort défient le temps…”
Professeur de géographie à l’université de Rouen, Michel Bussi est l’auteur aux Presses de la Cité de Un avion sans elle (2012) et Ne lâche pas ma main (2013).
Un policier qui m’ a donné envie de revoir Giverny
  et lire Aurélien d’Aragon, il y fait de nombreuses références. Clarisse l’avait dans sa liste pour le bac.
« La première fois qu’Aurélien vit Bérénice il la trouva franchement laide. » 
Le second livre vous emmène en Asie.
“Lorsqu’un brillant avocat new-yorkais disparaît du jour au lendemain, sa fille Julia n a aucune idée d où il peut être. Jusqu à ce que, quatre ans plus tard, elle trouve une ancienne lettre d amour écrite par son père à une jeune fille de son village natal, en Birmanie. Déterminée à résoudre le mystère, Julia décide de se rendre sur place. Elle va y découvrir le saisissant passé de celui qu elle croyait si bien connaître, une bouleversante histoire d amour mise à l épreuve par bien des obstacles.”
C’est une histoire d’amour remarquable entre un homme et une femme, mais également entre une fille et son père, qui nous fait découvrir la Birmanie des années 40.

 

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4 réponses

  1. Franziska dit :

    bonjour, j´ai lu “Nymphéas noirs” en juin et je le recommande vivement ainsi que “un avion sans elle” du même auteur. Suspens assuré et dénouement surprenant. Bonne lecture

  2. cartonsdemma dit :

    J’ai également lu Un avion sans elle, surprenant, je lirais bien celui-ci. Des lectures qui ont l’air passionnantes.

  3. bea dit :

    Lu aussi les nymphéas … en un dimanche pluvieux, j’ai beaucoup aimé … et j’ai eu moi aussi l’envie de voir Giverny et les oeuvres de Monet

  4. Elisa dit :

    je commence juste les nynphéas noirs,
    j’ai bien aimé ” l’art d’écouter les battements de coeur”, un plaisir de se retrouver en Birmanie un pays que j’ai tellement aimé découvrir .
    On imagine bien les personnages et les lieux et cette histoire d’amour .

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